Piégé par ses manipulations pour être Daddy

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il y a 4 ans

Sous prétexte de faire découvrir l’h y p n o s e, un homme essaye de manipuler une collègue de bureau. Elle joue le jeu et découvre que ses intentions sont perverses. Par jeu, elle lui laisse croire qu’il réussi à la manipuler. Lors d’une séance il lui demande de lui faire voir ses seins et c’est à cet instant qu’elle découvre la supercherie. Au lieu de se lever et de le gifler, elle soulève son chemisier dévoilant au regard gourmand de l’enfoiré sa généreuse poitrine maintenue dans un superbe soutien-gorge en dentelle. Bien décidée à lui coller une claque monumentale s’il ose la toucher, elle attend patiemment qu’il s’approche mais ce qu’il lui raconte au lieu de la toucher la surprend au plus au point.

Lucie, vos seins magnifiques donneront du lait au grand bébé que vous allez aimer et choyer. Votre instinct maternel vous poussera à vous occuper de moi, à me choyer…… Respirez lentement……. Vous allez être une nurse adorable, douce, câline……….Respirez lentement. Imaginez-vous en train de ma laver…………Respirez lentement et écoutez l’eau chaude qui coule dans le bain que vous m’avez préparé. Baissez votre chemisier doucement et respirez profondément…….

Comme Lucie fait à la lettre ce qu’il lui demande, Paul convaincu de ses supers pouvoirs se laisse aller en poursuivant ses divagations ABDL puis lui indique l’adresse de son domicile en lui expliquant qu’elle a « un irrépressible besoin » d’être sa nounou. Lorsque la séance se termine, Lucie lui annonce qu’elle a fait de magnifiques rêves, qu’elle se sent plus décontractée que jamais, qu’il est génial. Rougissant jusqu’aux oreilles, Paul lui propose de venir prendre un verre chez lui, proposition qu’elle accepte aussitôt en le serrant très fortement dans ses bras.

A 19 heures précise, après avoir prévenue une amie qu’elle va prendre un verre chez Paul, Lucie sonne à l’adresse indiquée. Son collègue tendu lui ouvre la porte qu’elle franchie d’un pas décidé. Lancée dans l’aventure avec des idées tout aussi perverses que celles de Paul, elle entre dans son jeu immédiatement en l’appelant « mon gros bébé » puis en lui demandant de lui montrer sa chambre. Quand elle lui demande de se déshabiller pour aller à la douche, pris de court dans ses fantasmes et délires il se met à rougir. Lucie décidée le pousse dans ses retranchements en lui demandant de se presser un peu puis où sont ses affaires de bébé. Les mots bloqués au fond de la gorge, il lui indique d’un doigt la penderie où elle se rend aussitôt comme pour fuir son regard. En ouvrant la porte, à la vue d’un carton de couche, des tenues et cordes qu’elle découvre, Lucie se demande un instant si elle ne fait pas une énorme bêtise. Derrière elle, Paul en slip l’attend tout penaud sans savoir quoi faire, quoi dire.

Lucie se jette à l’eau avec le même sentiment que son baptême de parachutisme en attrapant une couche, une culotte en plastique puis le body rose accroché à un cintre.

  • Allez, fille à la douche avant d’attraper froid, vilain.

« Oui maman » lui répond Paul aussitôt en sortant de la chambre. La douche est dès plus sommaire, elle le rince dès qu’il a retiré son slip puis elle lui tend une serviette qu’il saisit par automatisme. Ramené à la chambre par l’oreille, le grand bébé nu n’en mène pas large. Lucie étale la couche sur le lit puis lui demande de prendre place. Elle le lange en un rien de temps pour mettre quelque chose le plus rapidement possible entre elle et le sexe masculin commençant à se développer. Ce n’est pas qu’il lui fasse réellement peur, après 8 ans de cours de karaté, Paul ne lui fait pas peur, mais elle n’a pas envie de tenter le diable.

Pour la culotte en plastique, il l’aide en lui souriant, ce sourire inquiète la nounou plus qu’autre chose. Pour le body, sous prétexte de lui apprendre elle lui demande de le fermer lui-même en expliquant comment cela s’accroche. En voyant son collègue de bureau dans cette tenue, elle est autant déconcertée qu’amusée. Avant de lui dévoiler à son tour sa supercherie et de lui donner une bonne leçon de morale dès plus humiliantes, l’idée lui vient de jouer un peu à son tour.

  • Comme bébé n’a pas encore un lit à barreaux, maman va être obligée de le sécuriser un peu pour ne pas qu’il tombe pendant qu’elle va faire à manger. Dit-elle en sortant les cordes du placard à surprises……

Paul a l’impression de vivre un rêve éveillé, sa nounou va l’attacher comme dans ses fantasmes ! ! ! C’est avec une érection monumentale dans la couche qu’il se laisse entraver bras en croix dans le lit. A la façon qu’elle a de lui lier les mains, il commence à avoir un peu peur car les nœuds sont sévères mais lorsqu’elle se relève avec un grand sourire sadique, ce n’est plus une petite peur qu’il éprouve mais une peur viscérale !

  • Alors écoute conard, tu ne m’as jamais h y p n o t i s é e dieu merci, par contre tu m’as permis de voir que tu es un sacré enfoiré !

A ces mots, Paul, dans une position inextricable devient blême. Lorsqu’il tente de balbutier quelques excuses, Lucie lui ordonne de se taire d’une voix si autoritaire qu’il n’ose même plus émettre le moindre son. Elle l’abandonne un instant pour aller chercher son sac à main dont elle extrait son téléphone portable. En l’apercevant le gros bébé s’essouffle en tirant comme un f o r c e n é sur ses entraves et commence à transpirer. Lucie sure d’elle prend son temps pour le photographier, malgré les menaces de représailles de Paul et les propos totalement inconscients dans la position où il se trouve. Agacée, elle donne un coup de poing entre les jambes du bébé agité, la couche n’amortie pas réellement le choc coupant net les réfutations.

  • Tu veux jouer au bébé, c’est ton droit, mais manipuler les gens comme tu as essayé de le faire avec moi est ignoble. Pendant un mois, tu feras 200 lignes par jour de « je suis un ignoble bébé, je ne ferai plus rien pour manipuler les gens». Si tu loupes une journée, je distribuerai les photos que je viens de faire au bureau. A la moindre allusion à ce qui vient de se passer, aussi, as-tu bien compris ?

  • Oui Lucie, pardonnez-moi, j’ai été idiot, je….

  • Tais-toi et médites. Je viendrai te libérer demain matin promis mais comme c’est le week-end et que je me lève tard, ben tu méditeras longtemps à tes conneries. Sois-sage.

………………………..

C’est sur ces derniers mots que Lucie a abandonné Paul jusqu’au lendemain midi, où en coup de vent, elle est passée pour couper une des cordes maintenant un gros bébé boudeur très sale. Le lundi, il lui remit une enveloppe avec les 400 lignes demandées.

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